Rouen

Fin des vacances, la halte du retour, en particulier pour l'exposition Sienne au musée des Beaux arts dont je vous parlerai pendant le mois italien, et pour le plaisir de se balader entre les maisons à pans de bois et les flèches des églises...

en vrac!
 d'abord, une plongée au coeur du Moyen-Age ou presque!

 de la minuscule rue du petit mouton

 à l'aître Saint-Maclou (un lieu étrange qui remonte à la Grande Peste noire de 1348,trois des galeries qui entourent ce qui était alors un cimetière ont été construites entre 1526 et 1533 pour servir d'ossuaire. Leur décor est macabre : crânes, ossements, outils de fossoyeur, objets de culte dans les rites mortuaires.)


 Brrr!
 Pour rester dans le religion, direction la cathédrale



 et ses dentelles de pierre
 La tour du gros horloge

 Hôtel de Bourgtheroulde
 l'église Jeanne d'Arc aux vitraux magnifiques

L'église Sainte-Jeanne-d'Arc, ainsi que les halles du marché, ont été édifiées sur les plans de l'architecte Louis Arretche. Cette église à l'architecture audacieuse et contestée, permet d'admirer les vitraux du chœur de l'ancienne église Saint-Vincent, détruite en 1944. Son aspect évoque à la fois un bateau viking et un poisson. Elle fut inaugurée en 1979, on peut y voir 13 verrières du XVIe siècle, réalisées en 1520-1530, qui avaient été mises à l'abri par le Service des Monuments historiques en 1939.

La place du Vieux-Marché, lieu du supplice de Jeanne d'Arc

 Le palais de justice


 Napoléon




 L'église Saint-maclou et une petite place aux allures de village médiéval


 rue d’Amiens :

des façades provenant de l’hôtel particulier d’Etancourt (XVIIe siècle) situé à l’origine entre la rue du Gros Horloge et la rue aux Ours,  remontées ensuite rue d’Amiens et ornées de moulages des statues originales représentant les quatre éléments et les dieux de l’Olympe, qui étaient, à l’origine, dans une cour intérieure.



rue Eau-de-Robec : un petit ruisseau et des passerelles, rappelant l'époque où le Robec se glissait au pied des maisons des drapiers. Celles-ci sont parfois surmontées d'un «grenier-étente» où l'on séchait les échevaux de fil et tissus de coton fabriqués et teints au rez-de-chaussée.


 et pour terminer l'abbatiale Saint Ouen








 une dernière vue avant de prendre le chemin du retour

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