Mantoue

Suite des archives photos de ce voyage d'il y a quelques années!
Joyau de la Renaissance italienne, Maonoue, c'est d'abord un site particulier: (les photos étant interdites dans les monuments, il s'agit pour la plupart de récupération!)
 le centre ville est entouré par 4 lacs établis à partir du fleuve Mincio, donnant à la cité des allures d'île.  L'un des quatre fut asséché, conférant à la ville la physionomie que nous lui connaissons actuellement.














A ne pas manquer bien sur, le château Saint-Georges - palazzo Ducale, pour son architecture (l'escalier conçu pour pouvoir être monté à cheval est remarquable!)  et ses fresques tout particulièrement comme celles de Mantegna dans la fameuse chambre des époux
ou encore les restes de celles de Pisanello


et l'incontournable Studiolo d'Isabelle d'Este (après mon séjour à Ferrare, c'était incontournable!)  mais aussi pour mieux comprendre l'histoire de la ville et de la famille des Gonzague.
Un article intéressant sur le sujet : art-et-mecenat/les-gonzaga-de-mantoue/ludovico-gonzaga-marquis-de-mantoue

Une promenade ensuite dans le centre ville, avec la torre della gabbia où l'on exposait les prisonniers



puis la visite de la basilique Saint-André (avec le tombeau de Mantegna)
basilique Saint-André Mantoue
et la cathédrale,
Cathédrale San Pietro de Mantoue
ou encore la curieuse église ronde San Lorenzo

 une halte déjeuner bien méritée (et l'occasion de goûter la fameuse Sbrisolona, mi-tarte, mi-appareil à crumble)  avant de filer au palazzo Tè.

Là encore entre fresques, petite et grande histoire, une visite très agréable!
Construit entre 1525 et 1536 dans le style maniériste primitif, le palais fut commandé à l'architecte Giulio Romano par le fils d'Isabelle d'Este, Frédéric II (1500-1540), marquis puis duc de Mantoue.

 Les fresques signées Benedetto Pagni ou Rinaldo Mantovano (le Mantouan) sont aujourd'hui la plus remarquable curiosité du Palais, en particulier la Sala dei Cavalli
Une fois le palais achevé, Frédéricy installa sa maîtresse « officielle », Isabella Boschetti



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