Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi Katherine Pancol
Présentation de l'éditeur:
Souvent la vie s’amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le
tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu
nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits
cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui
portent des gants de boxe ou font gicler le gravier,
ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l’imposant, du
clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un
sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des
diamants dans une main tendue… Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le
samedi, ni le dimanche, ni le lundi…
Le début
Hortense attrapa la bouteille de Champagne au goulot et la renversa dans
le seau à glace. La bouteille était pleine et cela fit un drôle de
bruit. Le choc du verre contre la paroi de métal, le crissement des
glaçons qu’on écrase puis un gargouillis suivi d’une pétarade de bulles
qui éclatèrent à la surface en mousse translucide.
Le garçon en veste blanche et noeud papillon noir haussa un sourcil.
- Infect, ce Champagne ! grogna Hortense en français en donnant une
pichenette au cul de la bouteille. Quand on n’a pas les moyens de se
payer une bonne marque, on n’en sert pas une qui tord les boyaux…
Mon petit mot: Après avoir lu les yeux jaunes des crocodiles et la valse lente des tortues, je voulais savoir ce que K. Pancol réservait à ses personnages auxquels je m'étais attachée au fil des deux premiers volumes, mais j'avoue que ce gros volume ne détrônera pas "Un homme à distance" du titre de "mon roman préféré de Katherine Pancol".. . Moins noir que les tortues, moins emballant que les crocodiles, mais bien pour un été..
Libellés : littérature